INTERVIEW ICI RCFM 06/11/2025
- Jenny QUALI FORM RH

- 7 nov.
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Diffusé le jeudi 6 novembre 2025 à 7:45
Publié le jeudi 6 novembre 2025 à 7:45
À l'occasion de la journée nationale de lutte contre le harcèlement scolaire, la présidente de l'association Jean-Toussaint Nathalie Santoni, est revenu sur l'importance de la libération de la parole pour venir à bout de ce phénomène qui a des conséquences dramatiques pour les familles.
En Corse, depuis la rentrée scolaire, trois cas de harcèlement scolaire ont été signalés dans l'académie pour le second degré (collège et lycée). À l'occasion de la journée nationale de lutte contre le harcèlement à l'école, Nathalie Santoni, présidente de l'association Jean-Toussaint, du prénom de son fils suicidé en 2017 après avoir été harcelé dans son lycée à Sartène, appelle, sur RCFM, les témoins à réagir : ils "ont un rôle très important dans ce fléau, le harceleur seul on peut l'arrêter !"
Elle a tenu à remercier le travail des services de justice dans l'enquête de la mort de son fils : "L'enquête est toujours ouverte à ce jour et bien sûr que les harceleurs seront jugés et condamnés. Bien sûr ce ne sera jamais à hauteur de ce qu’il a pu subir, ni ce que nous subissons depuis son départ mais nous nous battrons pour montrer que notre fils a bien été une victime et il sera reconnu comme tel. Lui et toutes les autres victimes de ce fléau."
Selon un sondage Odoxa pour l'association de prévention Asmae, un tiers des familles sont concernées par le harcèlement scolaire en France.







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